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En admettant la dfinition aristotlicienne du lieu comme limite immdiate immobile de lenveloppe dun corps, nous insistons sur lՐtre-indfiniment-dans-un-lieu du corps et nous identifions implicitement le corps au lieu : un corps sans lieu na jamais lieu dՐtre ou nexiste du moins quՈ la mesure de son retrait, de son mouvement dabsentement - surface du fleuve se refermant calmement sur le corps du noy entran vers les fonds bourbeux. Lici - la diffrence du lieu neutre ou neutralis par la pense objectivante - se singularise par la prvalence du lieu pur sur le corps dont il est le lieu. Lici nest jamais simplement le lieu-de rapport un corps, mais lavoir-lieu en droit affranchi de toute prsence phnomnale : si lici est peut-tre difficilement pensable sans le corps quil phnomnalise, en lui, la prsence phnomnale est seconde par rapport au mouvement de phnomnalisation, lՎvnement pur du surgissement de lՐtre qui est pour le sujet. Lici est ainsi comprendre comme le lieu de lavoir-lieu, larchi-lieu. Comme la localisation de lՎvnement o - co-originairement - le sujet advient au mon de et le monde au sujet, qui y projette sa propre interprtation. Cest pourquoi nous pouvons le dfinir comme la limite mdiate et mobile qui enveloppe la zone de surrection de lՎvnement dont dpend la configuration - ontique et hermneutique - du monde. Limite mdiate, car cest videmment dans son opposition lailleurs que se dtermine la position de lici. Ici/ailleurs. Ici et ailleurs, ce couple institue une dualit fondatrice et motrice. De lici lailleurs sՎtire une ligne de fuite classique : partir dici tout prix pour conqurir un ailleurs encore vierge et porteur dune corolle de possibilits plus chantantes, ou encore quitter lici regret et sans espoir de retour pour un ailleurs incertain et gristre; dans tous les cas de figure, ici et ailleurs articulent laventure humaine - individuelle ou collective - et la chargent daffects et de dsirs (nostalgie, espoir, envie impatiente, ennui, mlancolie, ...). La dualit ici/ailleurs ne cesse pas douvrir un horizon et de briser la monotonie de leffectivit, cest--dire de ce qui, se donnant entirement et sans retrait sous nos yeux, ne laisse subsister aucun possible mergeant, aucune attente satisfaire. y regarder de plus prs, lici seul serait pure effectivit si lailleurs ne venait le potentialiser et le parasiter. Et puisque lautre porte la ngation de ce dont il est lautre, traverser la frontire qui spare lici de lailleurs nest pas sans consquences quant la nature mme de ce qui subit ce dplacement. Lexistant expropri de son lieu naturel - i.e. de ce qui lui est le plus propre et lui confre son ipsit, la force de contenir son essence et de renouveller lacte de saffirmer - ne perd pas seulement un lieu parmi dautres partir duquel habiter le monde et dployer un faisceau de comportements. Lexistant expropri ou expuls (hors dun appartement, dune ville, dun pays) reproduit, mais de manire inverse, la structure de la figure du clandestin, de lintrieur de laquelle, comme dune housse malpropre perce de deux trous, il finira par percevoir le monde, dans le petit matin ple, son rveil. Le clandestin est celui dont lexistence est devenue marchandise clandestine. Passeur qui ne passe rien que lui-mme et ne se destine essentiellement personne. Priv de destin parce que priv dici, le clandestin a perdu la force dagir, de maintenir sa dterminit - la singularit de son Je - face son universalit objective et de saliner en regard de cette universalit : sa singularit se volatilise et se dilue dans le mouvement de luniversalit, marchandise happe par le procs des changes mondiaux. Tantt lexistant expropri croit devenir sujet en rclamant au nom de sa dignit subjective le retour de conditions objectives quil a perdu (mme sil en a toujours t priv), tantt lexistant clandestin devient effectivement objet en persvrant dans la reconqute dune dignit de sujet sur le retour de laquelle il spcule comme sur le gain dcisif capable de contre-balancer le poids ontologiquement inou de sa mise initiale, poids dune dcision quil na jamais t en mesure de prendre de lui-mme, mais quil a subi en son innocence et son absence-daction : il se vend. Frontires vagues. La clture de lici ne contient ce quelle renferme quen sarc-boutant sur une extriorit qui la borde et la dlimite. Mais o passe exactement la frontire entre lici et ce qui tombe hors de lici? En vrit, et pour le dire en peu de mots, une frontire est toujours vague. Vague. Comme on parle de vague lՉme ou de terrain vague. Un phnomne vague. Quil importe avant tout de distinguer du flou : le flou est le brouillage dune forme dtermine, laltration dun dessin initialement prcis, le produit dune dcomposition, dune violence faite aux contours. Une identit qui sefface dans la douleur ou sՎvapore lentement : portrait dInnoncent III par Francis Bacon ou sourire du chat du Cheshire. Le vague nest pas la disparition dune identit ou son manque dՎvidence mais lapparition dune non-identit, dun phnomne qui ne concide pas avec soi et ne concidera jamais avec soi. On connat les clbres raisonnements baptiss sorites : partir de combien de grains de sables rassembls obtenons-nous un tas de sable? Ou encore, partir de quel seuil un homme qui perd x cheveux chaque jour est-il chauve? Le vague apparat quand la sommation progressive des parties ne suffit pas rendre compte dun changement du tout. Ou quand la dfinition du tout chappe celle de la somme des parties. O commence exactement une montagne? Un dsert? O sarrte une ville? Nest-elle pas aussi identique ce qui la dborde de toutes parts : sa banlieue? Maubeuge est de ce point de vue un objet vague, identique ce quil nest pas : nous ne savons pas avec prcision o cette ville commence, ni o elle finit. Limprcision est-elle alors dans lՐtre des choses-mmes (vague ontologique) ou dans notre connaissance et notre comprhension de lՐtre des choses (vague pistmique)? Le problme semble se nouer de faon plus complexe encore, sagissant de la frontire qualifie de vague. Pourtant, il ny a pas de paradoxe vritable qualifier de vague la frontire, dont le rle consiste abolir le vague, lindtermination : l o est la frontire est aussi lՎcart par rapport la frontire; il ny a de frontire que diffrentiellement. Et cette diffrence implique une relation un corps en mouvement. Or la relation de la frontire au corps est vague parce quelle est infinie : le corps est labsolument divisible en quantit et selon trois dimensions (Aristote); La divisibilit virtuellement infinie du corps nest rendue possible que par la quatrime dimension, le temps. Mais lopration divisante, comme lopration daddition, natteint jamais linfini. Le passage de la frontire a toujours lieu a posteriori. Si bien que la frontire concide moins avec une position relle quavec lide dun passage, qui est essentiellement vague et appartient de plein droit lordre de lՎvnement, indissociable dun redploiement de soi qui rarticule tous les possibles mis jour et rapports un nouveau projet interprtatif global. Passer la frontire signifie tablir un rapport constitutif la totalit du monde et soi-mme en se donnant la possibilit de se comprendre sous un jour neuf et la lumire de son histoire. Cicatrices. LՎtrange moulage imagin par Jacqueline Gueux donne corps au seul lieu qui ne se laisse pas enfermer dans un corps et donne un volume ce qui, ordinairement, ne possde aucune paisseur : le mot ICI. Ce mot en vient alors dsigner, par une rverbration o - dune manire indite - se joue le lien du sens et du sensible, son propre dehors : il est le dehors quil dsigne. Lintrieur se noue lextrieur et lextrieur fait retour vers lintrieur, indfiniment, comme dans le ruban de Mobius. Les deux dterminations communiquent dialectiquement. Les ici produits chaque jour et numrots sagencent en dispositifs modulables suivant deux stratgies distinctes et parfois croises : une stratgie de type militaire et une stratgie de type conomique. Stratgie militaire dabord : lartiste investit des espaces et court-circuite les repres qui les organisent en obturant des pices et en condamnant des portes. Les lieux de passages se figent en places fortes. Pratique du sige qui a pour effet de dterritorialiser le lieu en faisant surgir, sous la zone de translation commune, lici absolu oblitr par lhabitude. Stratgie conomique ensuite : limmobilisation dun lieu neutre en un ici se double dune prsence ubiquitaire des ici, changs ou troqus contre dautres ob-jets. Lici reoit une valeur dՎchange : il nest pas seulement le lieu de manifestation de lՎvnement (archi-lieu ou lieu de lavoir-lieu) mais le tenant-lieu. Linfiniment substituable : indivisiblement scne et monnaie de lՎchange. Implicitement se trouve pose lՎquivalence idale entre mon ici et ton ici, entre le lieu do je pense et parle et celui do tu imagines et crs. Et cette quivalence tire son quilibre dun foyer commun tacitement postul. Cest en direction ce centre obscur, vid de sa substance mesure quon le ramne vers la lumire blafarde de lextriorit, que saventure la pense philosophique. * * * Depuis que la beaut a embrass la laideur, lart a perdu forme et contenu pour qui entendait encore crire avec son sang ou sagenouiller - un jour peut-tre - devant un chef-doeuvre inconnu. Car - cest un fait incontestable - la beaut a embrass la laideur. La plus laide des laideurs : le visage de la Gorgone. Celui qui nautorise quune contemplation unique, au prix de la ptrification. Qui lentrevoit et le scrute consent se dpouiller dfinitivement de son existence, se laisse traverser et transir deffroi par ce qui lui fait face. Il faut imaginer Orphe se retournant vers Eurydice et plongeant - (heureusement?) surpris - son regard dans les yeux de la Mduse. Effroi sacr. vnement absolument singulier. Or cest bien un vnement de cet ordre que lart tend aujourdhui faire advenir. Lart contemporain a lev lՎvnement volatile au rang de catgorie esthtique. trange et contagieuse volatilisation : la catgorie ontologique laquelle se rapporte dsormais loeuvre dart nest plus la substance (ce qui sub-siste et rsiste sous le jeu des apparences changeantes, ce qui est en soi et par soi) mais laccident (ce qui est en autre chose, arrim la modalit du contingent - ce qui peut ne pas tre). Ou encore la substance interprte comme accident : vnement. lide doeuvre sajointe celle de dure, de durabilit ou de consistance intrinsque. Nous parlerons donc plus volontiers dob-jet dart que doeuvre dart. La conception musale de lart (lart se conserve ou doit tre conserv et finir au muse) - dont on trouve encore des traces dans la philosophie de G. Deleuze - tait place sous la dpendance dune idologie substantialiste. Lob-jet dart, libr de la clture substantielle, se rpand hors des institutions artistiques classiques et se mue en vnements organiss et dclenchs en sries comme autant de piges. Les amateurs dart sՎgarent dans les friches artistiques comme les proies humaines du comte Zaroff traques dans sa lagune. Lartiste-attrapeur de rats cultive une plante rare - lincertitude - quil sagit de faire clore dans un tremblement intense : un artiste comme Kendell Geers explore ainsi les lisires de la violence en mimant lacte terroriste ou en amenant le spectateur dtruire son dispositif; la rception esthtique convie le spectateur simproviser tour tour cobaye, complice et tmoin. La posie creuse la chair; lachimie du verbe se fait chirurgie plastique : ainsi, Orlan et sa monstrueuse parade, ou les petites immolations quotidiennes du photographe espagnol David Nebreda. Si la teneur artistique dun happening ou dun dispositif se laisse valuer laune de son impact sur la sensibilit nerveuse du public, la prtention de lartiste contemporain nest pas moins immodeste que celle de ses prdecesseurs; provoquer un vnement rclame une audace sans nom, laudace de qui prcisement peine donner un nom ce quil porte en lui. LՎvnement artistique qui dforme et transforme le monde ordinaire - petit monde plaqu en cran sur le grand monde, celui quon ne sait plus voir - institue dans son sillage le sujet qui va habiter le monde ainsi reconfigur. Esthtique vnementiale, tel pourrait tre le nom de la discipline analytico-rflexive qui a pris acte de la caducit et de leffondrement des anciennes catgories esthtiques (beaut, sublime, ou territoires de lextase et du grand silence si longtemps arpents par Bataille, Blanchot et leur cortge dՎpigones, au dernier rang desquels quasi-existe Patrick Modiano, voix blanches aujourdhui englouties dans le ruissellement ternel du dehors). Consquence principale de cette conversion de lactivit artistique et de la rcption esthtique : la frontire entre lob-jet dart et son dehors tend invitablement se brouiller, si bien que lide de frontire occupe une position centrale dans la nouvelle configuration conceptuelle qui dfinit lart en ce dbut de sicle. Lob-jet dart est vague. Il appartient lessence de lart contemporain dՐtre vague. Le vague implique une communication, un change. Mais dire que lart passe dans la vie et la vie dans lart au point de se mler indistinctement ne suffit pas plus que dintroduire une disjonction entre lart et la vie (lart ou la vie). Il serait plus juste de tenir que lart est lunit de lart et de son dehors. Que lart est identit de lart et du non-art. Suture. Lart suture Lart suture Lart suture Lart suture Lart suture bord bord bord bord bord bord bord bord bord bord la bance les cinq branches lart les quatre points la splendeur de loubli de lՎtoile et la vie cardinaux au quelconque. F. JAMBOIS   ZNDSET2H&;x 6*DSET2H;trr++ 6*DSUM jamboisHDNISTYLVJSTYL;d;0;`;X;P;H;@;8;4      y                 !       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